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1. |
Faire un bout
02:59
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J’vas faire un bout
Faut voir autre chose que son coin de pays
J’vas faire un bout
C’est pas qu’j’aime pas ma ville
Mais il faut connaître
L’étranger
Il sera jamais trop tard
Pour revenir d’où j’suis mais
Là j’vas faire un bout
Ni jamais non plus trop tard
Pour s’éclipser
Disparaître
La vie est peut-être ailleurs
Moé, j’peux pas savoir si
Quelque chose m’attendrait pas
Le mystère dissimulé à l’horizon
Appel l’aventurier
Aujourd’hui prendre la route
Demain s’envoler
L’un et l’autre peuvent te changer
On sort pas d’la carte
La même vielle damnée carte
Des gens partout un seul chez nous
Voir le monde
Le découvrir
Connaître le terrain
Faire son chemin
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2. |
Laisse donc
03:11
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3. |
L'incertitude
02:58
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J’peux pas savoir
J’m’inquiète, j’me meurs
J’peux pas connaître tes intentions
J’peux pas connaître ton inclination
L’incertitude
M’accompagne aujourd’hui
La lassitude
Elle m’accompagne aujourd’hui
J’peux pas déduire
Ce qu’y a dans ta tête
J’peux pas déduire
Cette fois, c’est bête
J’peux pas connaître tes perceptions
J’peux pas connaître ton inclination
L’incertitude
M’accompagne aujourd’hui
La lassitude
Elle m’accompagne aujourd’hui
J’peux uniquement
Laisser passer le temps
Laisser souffler le vent
Laisser venir le printemps
J’peux seulement
Laisser mes sentiments
En germe en attendant
Le vrai soleil levant
L’incertitude
M’accompagne aujourd’hui
La lassitude
Elle m’accompagne aujourd’hui
L’incertitude
M’accompagne aujourd’hui
La lassitude
Est ma seule compagne aujourd’hui
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4. |
J'sais plus trop
03:01
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Cette amitié au fond c’est bizarre
Parfois elle joue le rôle d’un phare
Au cœur de mes journées noires
Renouvelé comme la pratique d’un art
Même quand il serait déjà trop tard
Au cœur de notre ville foire
J’sais plus trop ce que ça veut dire
Mais j’sais qu’il faut que j’te l’dise
Entre hommes et femmes c’est toujours dur car
L’amitié devient le grand écart
Au cœur des désirs le soir
Il y a une chose dont j’veux te faire part
Une invitation au départ
Pour vivre au cœur et pour voir
J’sais plus trop ce que ça veut dire
Mais j’sais qu’il faut que j’te l’dise
J’t’aime
C’est simple de même
Je t’aime, je t’aime
Comme il est vrai que l’on peut dire que l’on aime
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5. |
Pourquoi
04:18
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Pourquoi ne pas déposer les armes ?
Pourquoi pas ? Et ne pas en faire un drame
Les images sont si belles et tout plane
Ne reste plus qu’à décerner la palme
Je vois mes pas, mais devant aucune trame
Pas à pas mes traces sont banales
Mais l’image reste belle et tout plane
En cette vie de calme, de vacarme
La vie qui bouscule et qui prend
La vie qui égraine le temps
Le millionnaire et le pauvre
La vie, elle s’en fout
Sans émotions, sans opinions, sans convictions
Le contraire de moi étouffe ma passion
Je vis ici sans satisfaction
La vie qui bouscule et qui prend
La vie qui égraine le temps
Le millionnaire et le pauvre
La vie, elle s’en fout
Un autre saut dans l’vide facile
Quand la vie l’est tout autant
Une suite sans fin de moments
Dans une vie. Une seule vie !
Montrer ses choses aux autres
Jouer un peu de bon temps
Pourquoi pas brasser d’l’air ?
Ne jamais regarder en arrière
La vie qui bouscule et qui prend
La vie qui égraine le temps
Le millionnaire et la pauvre
La vie, elle sans fou
De soir en soir te transporte
Au matin, te rappelle à elle
De jour en jour elle te porte
Te tient d’une simple ficelle
Et tu marches, tu marches
Et au fond tu tournes en rond
Et tu marches, tu marches et tu marches
Et au fond tu tournes en rond
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6. |
Au large
02:37
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Quand mon regard sur ma vie
M’en donne l’image d’un confinement
Faudrait foutre le camp
Quand ces études et ce travail
Semblent étrangement une perte de temps
Faudrait foutre le camp
Et ces divertissements lassants
Et ces soirées où tout est chiant
Faudrait foutre le camp
Quand j’fais le rapprochement entre une cellule
Et mon appartement
Faudrait vraiment foutre le camp
Au large, la vie
Au loin ailleurs qu’ici
Au large, la vraie vie
En plus d’l’amour qui ne se déclare pas présent
Faudrait foutre le camp
Que l’amitié entre homme et femme
Rien d’intrinsèquement vibrant
Faudrait foutre le camp
Au large, la vie
Au loin ailleurs qu’ici
Au large, la vraie vie
Yo amigo quel bonne idée d’aller la fêter au Saguenay
On va foutre le camp
C’te Saint-jean là, on va s’en rappeller
On aura foutu l’camp !
Au large, la vie
Au loin ailleurs qu’ici
Au large, la vraie vie
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7. |
Allez
02:38
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Le vent souffle sur la ville
Sur ses rues belles ou viles
Promesse de liberté
Dans tous les quartiers
Un nuage passe et laisse voir
La lune plein ce soir
Promesse de liberté
Dans tous les quartiers
Allez, allez !
Sortez ! Dansez !
Allez ! Allez !
Sortez ! Chantez !
Blanche, rouge et orangé
Les phares des voitures brillent
Une vraie fébrilité
Dans tous les quartiers
La musique, trop bonne
Dans chaque bar elle résonne
Une vraie fébrilité
Dans tous les quartiers
Allez, allez !
Sortez ! Dansez !
Allez ! Allez !
Sortez ! Chantez !
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8. |
Tu restes là
02:50
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Journées oisives
Semaines de travail
Soirs de fête
Nuits de mauvais sommeil, de mauvais sommeil
Matin si tôt
Chemin d’ville dingue
Soyez sympas
Soyez de joie urbaine, de joie urbaine
Tu restes là
Pas trop loin
Dans ma tête
Tu restes là
Et j’veux
Te connaître
J’ai des années
Elles s’accumulent, elles se cumulent
Parfois j’pense à la fin, j’pense à la fin
Solitude habitée
De mes amis, de ma famille
Solitude habitée est à moitié oubliée
Tu restes là
Pas trop loin
Dans ma tête
Tu restes là
Et j’veux
Te connaître
Mais c’est pas pareil
D’avoir auprès de soi une
Beauté à choyer, une beauté à choyer
J’imagine l’amour
Comme un partage de l’existence
Et de l’un l’autre
Tu restes là
Pas trop loin
Dans ma tête
Tu restes là
Et j’veux
Te connaître
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9. |
Le monde
03:45
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Oh, mais où s’en va
Le monde ?
Des tonnes de bombes
Tombent
Oh, mais où s’en va
Ce monde là ?
Tough un autre soir
Dans la musique et la conscience
Submergée
Des hommes s’affrontent
Des enfants pleurent
Des filles se montrent
Des vieux ont peur
Des jeunes se trompent
Et blessent leurs cœurs
Mais dans ça, le comble
C’est chercher le bonheur
Le soleil monte
Le soleil tombe
La Terre abonde
D’humains qui grondent
Dis-moi, où est donc l’espoir ?
La paix, peux-tu y croire ?
Et toi, t’inquiètes-tu le soir ?
Veilles-tu pour rien trop tard ?
Le soleil monte
Le soleil tombe
La Terre abonde
D’humains qui grondent
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10. |
La nuit durant
02:14
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L’amour caché dans une
Banque de données
Encadré entre deux ou trois
Publicités
L’amour codé, transmis
Et puis affiché
Une photo envoyée
À un étranger
Elle a écrit tant de choses la nuit durant mon sommeil
Elle a écrit tant de choses la nuit durant ; des merveilles
Un rendez-vous bien noté
Pour ne rien oublier
Le trop plein d’émotion
On veut la vivre la passion
Elle a écrit tant de choses la nuit durant mon sommeil
Elle a écrit tant de choses la nuit durant ; des merveilles
Elle a écrit tant de choses et moi et moi
Qui ne suis que moi
À moi, à moi !
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11. |
Fleur
04:59
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Fleur, au premier d’juin
Fleur, voir ton visage
Chère, j’te veux près d’moi
Chère, j’te veux près d’moi
J’te veux auprès d’moi
J’te veux dans mes bras
Viens et on verra
Où ça nous mènera
Fleur, au deux de juin
Fleur, où est ton visage ?
Chère, penses-tu à moi ?
Chère, penses-tu à moi ?
J’te veux auprès d’moi
J’te veux dans mes bras
Viens et on verra
Où ça nous mènera
Fleur, au trois de juin
Fleur, revoir ton visage
Chère, viens avec moi
Chère, chère viens avec moi !
J’te veux auprès d’moi
J’te veux dans mes bras
Viens et on verra
Où ça nous mènera
Toi t’en es où ?
Moi j’en suis là
À ne voir que toi
J’te veux auprès d’moi
J’te veux dans mes bras
Viens et on verra
Où ça nous mènera
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12. |
Perdu le compte
02:40
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Quand seras-tu
Moins loin, moins loin ?
Quand le temps
Sera-t-il à nous ?
J’ai perdu le compte
J’ai tout escamoté
Quand le soleil illuminera-t-il
Des jours toujours plus heureux
Au matin ?
Quand chaque jour portera-t-il
Sa joie et son amour
Sur les moments de la vie ?
J’ai perdu le compte
J’ai tout escamoté
J’ai bon espoir
J’aime toujours à croire
Pouvoir m’émouvoir
J’ai bon espoir de toujours
Pouvoir voir dans mon cœur
Une lueur de bonheur
J’ai perdu le compte
J’ai tout escamoté
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13. |
Vain
02:31
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Penser est plus facile que vivre
Se libérer se fait mieux ivre
Vaut mieux une dose de plaisir
Que s’enchaîner à des désirs
Et tout est même, tout est vain
L’amour est un mythe crétin
Et l’existence ne mène à rien
Et elle haie la lumière du matin
Se momifier dans le confort
Le cœur dans un coffre fort
Et je ne peux qu’avoir tord
Et bientôt nous serrons tous morts
Cigarette après cigarette
Elle sait trop bien qu’elle empeste
Mais se fout de ça et du reste
Car dans son grand cœur il fait frette
Ellen ne se l’avouera pas
Sa smoke, elle savourera
L’avouera surtout pas à moi
Car je ne supporterais pas
Et réchauffer ce qui est froid
Et façonner ce qui est plat
Et harmoniser ses tracas
Et rendre heureuse serait ma loi
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14. |
Sur le lac
05:25
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Pendu au bout de pressentiments
Changeants comme le vent
Pendu au bout d’espoirs ardents
Hésitant à chaque instant
Accroché au souhait lancinant
D’être unis pour un bout de temps
Accroché au vœu obsédant
De sentir l’amour juste un moment
Guéri vite, cœur saignant
L’émotion c’est l’enfermement
L’espoir ardent brûle le présent
La tête dans l’avenir, la vie en suspend
Comme sur un fil, chancelant
Comme sur les mains, en balan
Comme un pied, sautillant
Ivre de toi, titubant
Guéri vite, cœur saignant
L’émotion c’est l’enfermement
L’espoir ardent brûle le présent
La tête dans l’avenir, la vie en suspend
Comme sur un lac venu le printemps
Sous la glace, le son de craquements
La rive se rapproche lentement
Suis-je à mi-chemin maintenant ?
L’eau veut voir le ciel, mon cœur autant
Fragilisé dangereusement
À chaque pas, ce son troublant
La glace fond, le fond m’attend
Guéri vite, cœur saignant
L’émotion c’est l’enfermement
L’espoir ardent brûle le présent
La tête dans l’avenir, la vie en suspend
Sauve-moi je me noies !
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